À propos de l’artiste

L’artiste d’expérience Tom Sapin

est Parisien dans l’âme. « Même avant d’y habiter durant huit ans, je me sentais déjà Parisien », avoue-t-il. Né et élevé au centre de la France, dans une ville tranquille plus reconnue pour ses châteaux et vins que pour ses tendances maquillages avant-gardistes, Sapin s'est inspiré de sa mère qu'il se souvient avoir vue se maquiller. Il a travaillé au comptoir M·A·C à Paris durant cinq ans avant de gravir rapidement les échelons et devenir un artiste de renommée mondiale travaillant sur des éditoriaux et des défilés de mode. En apprendre plus sur ses produits et astuces préférés…

Précieuse Maman

« Ma mère adorait le maquillage et possédait plusieurs fards à paupières et rouges à lèvres. Lorsque j’avais trois ans, ma passion était apparemment de peinturer la salle de bain avec du maquillage. Au même moment, j’ai commencé à dessiner et à écouter des films des années 1960, ce qui, je crois, m’influence encore aujourd’hui. J’aime encore les grands yeux et le Eye Kohl charbonneux est toujours un de mes produits préférés. Je suis toujours impressionné de constater à quel point il est facile de créer un œil charbonneux. »

Base de la vie

« J’aime M·A·C, car l’individualité de chacun est respectée. Il y a aussi plusieurs produits de base excellents. Je ne pourrais jamais dire à quelqu’un de sortir avec un seul produit dans son sac, mais un de mes produits préférés est l’enlumineur Prep Prep + Prime Highlighter. Pour des retouches rapides, le bout du pinceau de cet enlumineur aide à couvrir, illuminer et perfectionner la peau en un instant. »

C’est Chic

« Je suis heureux de voir de plus en plus de lèvres mises en valeur dans les rues. La fille parisienne recherche toujours les teintes neutres : quelque chose de diaphane dans des couleurs naturelles. C’est amusant de voir qu’elles ont gardé cette tendance pour leur peau, mais ont commencé à porter des rouges à lèvres en Russian Red ou Hang Up. Je constate également une augmentation de la demande pour les Blot Film. J’en garde toujours au moins trois dans ma trousse puisqu’elles disparaissent toujours très vite. »